Bonjour Bernard, je compatis. Vous parvenez à une position similaire à la mienne quoique par une voie différente : l’idée de « se syndiquer » ne me pose aucun problème en soi, et je ne rejette pas par principe la notion de gestion collective sur laquelle se fondent (à l’origine) les sociétés de perception de droits « d’auteur ». Après tout, pourquoi pas ?
Ce qui m’agace en revanche, c’est le dévoiement des mots et des principes : lorsque j’entends ces organismes employer le mot « protection », l’image qui me vient est plutôt celle d’une paire d’individus patibulaires qui débarquent dans votre boutique avec une batte de base-ball à peine dissimulée et vous disent avec un fort accent sicilien « c’est une bien jolie devanture que vous avez là... il serait dommage qu’il lui arrive quelque chose ».
Bonjour Bernard,
je compatis. Vous parvenez à une position similaire à la mienne quoique par une voie différente : l’idée de « se syndiquer » ne me pose aucun problème en soi, et je ne rejette pas par principe la notion de gestion collective sur laquelle se fondent (à l’origine) les sociétés de perception de droits « d’auteur ». Après tout, pourquoi pas ?
Ce qui m’agace en revanche, c’est le dévoiement des mots et des principes : lorsque j’entends ces organismes employer le mot « protection », l’image qui me vient est plutôt celle d’une paire d’individus patibulaires qui débarquent dans votre boutique avec une batte de base-ball à peine dissimulée et vous disent avec un fort accent sicilien « c’est une bien jolie devanture que vous avez là... il serait dommage qu’il lui arrive quelque chose ».