Intéressant. Je ne doute pas que vous ayiez effectivement beaucoup à m’apprendre en matière d’« échange équilibré et constructif », si j’en juge par vos deux dernières interventions.
Pour en revenir au Clavinova, ce sujet vous tient manifestement à cœur (et à 5500 euros le bahut, je peux le comprendre). Je ne vois pas où vous avez lu, au demeurant, de la « suffisance » ou du « mépris » dans mes réponses — qui, entre nous soit dit, demeurent nettement plus polies que les vôtres — ; je ne cherche pas à disqualifier le Clavinova en tant qu’instrument de musique ni en tant qu’ornement destiné à « trôner dans votre bibliothèque ». Je vous dis juste : ce n’est _pas_ un piano.
On peut vous vendre tout le baratin publicitaire possible, quant au mécanisme, à l’échantillonage, que sais-je ; il n‘en demeure pas moins que les phénomènes mécaniques et acoustiques qui se produisent à l’intérieur d’un _vrai_ piano, n’importe lequel — j’insiste sur ce point —, sont d’une complexité et d’une imprévisibilité qui demeurent, à ce jour, hors d’atteinte de tout système de simulation. Sans parler, évidemment, de la restitution du son : quoi que vous fassiez, un instrument synthétique ne s’exprime que par un haut-parleur (ou plusieurs dans le meilleur des cas) : il s’agit d’un son domestiqué, assujetti, redirigeable (par exemple vers un casque). En d’autres mots : ce que j’appelle du son en boîte.
C’est exactement comme si vous me disiez qu’un simulateur de voiture est « identique » à une vraie voiture : je suis le premier à m’extasier devant les prouesses technologiques des jeux vidéos... mais je sais encore faire la différence entre un écran et un pare-brise.
Intéressant. Je ne doute pas que vous ayiez effectivement beaucoup à m’apprendre en matière d’« échange équilibré et constructif », si j’en juge par vos deux dernières interventions.
Pour en revenir au Clavinova, ce sujet vous tient manifestement à cœur (et à 5500 euros le bahut, je peux le comprendre). Je ne vois pas où vous avez lu, au demeurant, de la « suffisance » ou du « mépris » dans mes réponses — qui, entre nous soit dit, demeurent nettement plus polies que les vôtres — ; je ne cherche pas à disqualifier le Clavinova en tant qu’instrument de musique ni en tant qu’ornement destiné à « trôner dans votre bibliothèque ». Je vous dis juste : ce n’est _pas_ un piano.
On peut vous vendre tout le baratin publicitaire possible, quant au mécanisme, à l’échantillonage, que sais-je ; il n‘en demeure pas moins que les phénomènes mécaniques et acoustiques qui se produisent à l’intérieur d’un _vrai_ piano, n’importe lequel — j’insiste sur ce point —, sont d’une complexité et d’une imprévisibilité qui demeurent, à ce jour, hors d’atteinte de tout système de simulation. Sans parler, évidemment, de la restitution du son : quoi que vous fassiez, un instrument synthétique ne s’exprime que par un haut-parleur (ou plusieurs dans le meilleur des cas) : il s’agit d’un son domestiqué, assujetti, redirigeable (par exemple vers un casque). En d’autres mots : ce que j’appelle du son en boîte.
C’est exactement comme si vous me disiez qu’un simulateur de voiture est « identique » à une vraie voiture : je suis le premier à m’extasier devant les prouesses technologiques des jeux vidéos... mais je sais encore faire la différence entre un écran et un pare-brise.