Rien à voir (ou pas directement) avec le sujet qui fâche... mais votre remarque :
Dans le même ordre d’idée, aucun corniste aujourd’hui n’irait s’amuser à jouer du Brahms sur un cor sans piston.
me fait réagir.... eh bien si, figurez-vous ! (mais je ne vous apprends certainement rien...). Le trio pour cor naturel (le terme est du compositeur), violon et piano sonne merveilleusement bien sans ces fameux pistons (introduits vers 1840) qui égalisent toutes les notes ; Brahms lui-même, après avoir entendu son trio a déclaré préférer de beaucoup le cor naturel à celui avec pistons. Et je ferais ici le parallèle avec le sujet du fil, autant un clavinova est aussi lisse dans sa sonorité générale qu’un billard, autant un vrai piano possède des inégalités qui sont inimitables... et c’est -à mon sens- ça qu’on nomme... une âme...
Rien à voir (ou pas directement) avec le sujet qui fâche... mais votre remarque :
me fait réagir.... eh bien si, figurez-vous ! (mais je ne vous apprends certainement rien...). Le trio pour cor naturel (le terme est du compositeur), violon et piano sonne merveilleusement bien sans ces fameux pistons (introduits vers 1840) qui égalisent toutes les notes ; Brahms lui-même, après avoir entendu son trio a déclaré préférer de beaucoup le cor naturel à celui avec pistons. Et je ferais ici le parallèle avec le sujet du fil, autant un clavinova est aussi lisse dans sa sonorité générale qu’un billard, autant un vrai piano possède des inégalités qui sont inimitables... et c’est -à mon sens- ça qu’on nomme... une âme...